Le cycle d'Ender /T1
La stratégie Ender
Orson Scott Card
J'ai lu SF Poche
382 pages
6,90 €
Résumé
Andrew Wiggin, dit Ender, n'est pas un garçon comme les autres. Depuis sa naissance, ses faits et gestes sont observés par l'intermédiaire d'un moniteur greffé dans son cerveau. Car ceux qui l'ont conçu ambitionnent de faire de lui le plus grand général de tous les temps, le seul capable de sauver ses semblables de l'invasion des doryphores. Et alors qu'Ender suit pas à pas le dur chemin de son apprentissage de guerrier, ses créateurs mesurent la gravité de leur choix : en donnant naissance à un monstre, n'ont-ils pas condamné l'humanité elle-même ?
Mon Avis
Le cycle Ender est encore une fois une saga qui a fait son apparition dans ma WL complètement par hasard. Juste une envie cinématographique qui s'est révélée être un excellent film de SF. Bien meilleur que ce qui nous avait été précédemment présenté pendant l'année. Dès que j'ai vu que c'était tiré d'un livre, j'ai voulu le lire. Me voilà donc embarquée dans une nouvelle aventure 
.
Parce que j'ai été littéralement embarquée et ce, dès la première page. L'auteur ne nous laisse aucun répit, le lecteur débute cette histoire et il ne peut jamais s'arrêter, il faut qu'il continue. Je voulais savoir ce qu'il adviendrait d'Ender, des batailles qu'il devait remporter, de l'excellence qu'il devait atteindre, de la souffrance que les militaires lui infligeraient encore pour qu'il devienne meilleur, le meilleur. Parce que ce sont sur les épaules de ce petit garçon que repose le sort de l'humanité toute entière.
Ender est un petit garçon de 6 ans qui m'a émue au plus au point et ce, même si, finalement, il devient difficile de s'attacher à lui. L'armée l'a tellement façonnée qu'il finit par se détacher des émotions humaines, il devient étrange aux yeux du lecteur qui n'arrive plus à se reconnaître en lui. Parce que l'armée exige de lui des choses que nous ne ferions jamais, il est poussé à des extrémités qui l'éloigne de nous. Je n'en ai pas voulu à Ender, je ne l'ai pas jugé mais il m'était de plus en plus difficile de l'apprécier et tout comme pour ses généraux, il apparaît à nos yeux comme un général, comme un être fort et implacable bien que doué de compassion mais il n'est pas un ami. C'est donc un aspect qui est légèrement dérangeant puisque je lis habituellement des romans où je m'attache; si pas aux personnages les plus importants; au moins à l'un ou l'autre personnages secondaires. Ici, je n'ai pas réellement su m'attacher à l'un d'entre eux à part peut-être à Valentine, la sœur d'Ender et encore, ...
En parlant d'elle, j'étais contente de lire le roman parce qu'elle apparaît dans le film mais on ne s'étend pas sur elle. Du coup, je n'arrivais pas à savoir si elle était importante ou non. Le problème s'est résolu de lui-même puisque nous en apprenons plus sur Peter, le frère d'Ender ainsi que le rôle qu'il va jouer sur terre mais surtout sur celui de Valentine, la sœur d'Ender, la seule qui ne l'a pas oublié, la seule qui a de la tendresse pour lui, la seule qui le rejoint après...
L'histoire en elle-même est palpitante dans un premier temps, pleine de réflexion par la suite. La terre a été prise d'assaut par les doryphores une première fois et une seconde fois. Mis en déroute, ils retournent sur leur planète. L'humanité craint une nouvelle attaque et décide de passer à l'action en formant ses plus brillants enfants à l'art de la guerre. Si la guerre occupe la place principale dans le roman, la seconde partie nous offre une réflexion sur les conséquences de la guerre. Aussi plus qu'une "simple bataille', l'auteur nous livre une véritable réflexion sur la guerre et la destruction.
Je ne suis pas une fan de roman SF mais je suis absolument conquise par le premier tome du cycle d'Ender. C'est probablement l'un des meilleurs romans de SF que j'ai jamais lu. J'ai apprécié la plume analytique de l'auteur, il n'y a pas de fioritures ce qui donne un rythme ainsi qu'une rudesse à ses mots. Il traduit par l'écrit cette ambiance de guerre, sa froideur, sa rigueur, les prix à payer. Les personnages sont construits, ils ont une véritable consistance et ils cheminent à nos côtés. Je ne peux que vous conseillez le cycle d'Ender, c'est une histoire incroyable qui nous offre une véritable réflexion. C'est une aventure que je vais, bien entendu, poursuivre. Vous n'avez pas Ender dans votre WL ou votre PAL, c'est le moment de l'ajouter !
.Parce que j'ai été littéralement embarquée et ce, dès la première page. L'auteur ne nous laisse aucun répit, le lecteur débute cette histoire et il ne peut jamais s'arrêter, il faut qu'il continue. Je voulais savoir ce qu'il adviendrait d'Ender, des batailles qu'il devait remporter, de l'excellence qu'il devait atteindre, de la souffrance que les militaires lui infligeraient encore pour qu'il devienne meilleur, le meilleur. Parce que ce sont sur les épaules de ce petit garçon que repose le sort de l'humanité toute entière.
Ender est un petit garçon de 6 ans qui m'a émue au plus au point et ce, même si, finalement, il devient difficile de s'attacher à lui. L'armée l'a tellement façonnée qu'il finit par se détacher des émotions humaines, il devient étrange aux yeux du lecteur qui n'arrive plus à se reconnaître en lui. Parce que l'armée exige de lui des choses que nous ne ferions jamais, il est poussé à des extrémités qui l'éloigne de nous. Je n'en ai pas voulu à Ender, je ne l'ai pas jugé mais il m'était de plus en plus difficile de l'apprécier et tout comme pour ses généraux, il apparaît à nos yeux comme un général, comme un être fort et implacable bien que doué de compassion mais il n'est pas un ami. C'est donc un aspect qui est légèrement dérangeant puisque je lis habituellement des romans où je m'attache; si pas aux personnages les plus importants; au moins à l'un ou l'autre personnages secondaires. Ici, je n'ai pas réellement su m'attacher à l'un d'entre eux à part peut-être à Valentine, la sœur d'Ender et encore, ...
En parlant d'elle, j'étais contente de lire le roman parce qu'elle apparaît dans le film mais on ne s'étend pas sur elle. Du coup, je n'arrivais pas à savoir si elle était importante ou non. Le problème s'est résolu de lui-même puisque nous en apprenons plus sur Peter, le frère d'Ender ainsi que le rôle qu'il va jouer sur terre mais surtout sur celui de Valentine, la sœur d'Ender, la seule qui ne l'a pas oublié, la seule qui a de la tendresse pour lui, la seule qui le rejoint après...
L'histoire en elle-même est palpitante dans un premier temps, pleine de réflexion par la suite. La terre a été prise d'assaut par les doryphores une première fois et une seconde fois. Mis en déroute, ils retournent sur leur planète. L'humanité craint une nouvelle attaque et décide de passer à l'action en formant ses plus brillants enfants à l'art de la guerre. Si la guerre occupe la place principale dans le roman, la seconde partie nous offre une réflexion sur les conséquences de la guerre. Aussi plus qu'une "simple bataille', l'auteur nous livre une véritable réflexion sur la guerre et la destruction.
Je ne suis pas une fan de roman SF mais je suis absolument conquise par le premier tome du cycle d'Ender. C'est probablement l'un des meilleurs romans de SF que j'ai jamais lu. J'ai apprécié la plume analytique de l'auteur, il n'y a pas de fioritures ce qui donne un rythme ainsi qu'une rudesse à ses mots. Il traduit par l'écrit cette ambiance de guerre, sa froideur, sa rigueur, les prix à payer. Les personnages sont construits, ils ont une véritable consistance et ils cheminent à nos côtés. Je ne peux que vous conseillez le cycle d'Ender, c'est une histoire incroyable qui nous offre une véritable réflexion. C'est une aventure que je vais, bien entendu, poursuivre. Vous n'avez pas Ender dans votre WL ou votre PAL, c'est le moment de l'ajouter !
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